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Le quotidien Le Monde a une manière original pour commercialiser ses espaces publicitaires. Du 16 au 23 juin, Il a mis en vente sur eBay.fr l’exclusivité publicitaire de la page d’accueil du site LeMonde.fr du 30 juin. La mise à prix initiale était de 1 euro mais les enchères sont vite grimpées pour finalement atteindre la somme de 19 907 euros lors de la clôture ce lundi (l’enchère est à voir ici)

Au delà de l’aspect financier, c’est un moyen très efficace pour générer du buzz et donc une excellente opération d’un point de vue communication.

Bonne nouvelle, je suis admis à la Licence Pro « Création pour Web » de l’IUT d’Arles. Je voulais absolument compléter ma formation en école de commerce par de la programmation Web afin d’acquérir les compétences indispensables à tout créateur de site internet. En effet, apprendre tout seul les langages du web n’est pas des plus évident, surtout lorsqu’on a un emploi du temps chargé. J’ai quelques connaissances mais rien me permettant par exemple de lancer un vrai bon site d’eCommerce, professionnel et ergonomique relativement rapidement (sauf à recourir aux solutions « clef en main », mais je préfère prendre le temps de développer sur une plateforme open-source évolutive, tel que Oscommerce ou Magento)

Dès septembre et jusqu’en mars, j’attaque donc 6 mois de cours techniques liés à la création web qui me permettront d’avoir une double compétence commerciale et technique intéressante avant de me lancer pleinement dans la vie professionnelle. J’ai déjà en tête plusieurs sites d’eCommerce, notamment en Dropshipping, mais aussi sur des marchés de niche, voir sur du B2B.

Au programme pour ces 6 mois qui risquent d’être intensif, puisque j’aurais également ma société à gérer :

- Compréhension de l’architecture client-Serveur
- Acquisition des notions de base de l’algorithmie et de la programmation
- Connaissances théoriques et pratiques de la conception et de l’administration de bases de données
- Pratique Multimedia : création, intégration de médias numériques
- Droit de la communication et gestion de projet
- Droit appliqué aux oeuvres numériques
- Langage de description sémantique ((x)HTML/CSS)
- Approche de diffusion de contenu (CMS & PHP)
- Inititation au graphisme vectoriel et aux techniques d’animation 2D (Flash)

Cela n’a donc vraiment rien à voir avec ce que j’ai eu l’habitude d’apprendre en cours, et c’est justement ce que je recherchais. Je suis déjà impatient de me former à tous ces outils de la création web… !

L’Affiliation Marketing, vous connaissez ? C’est un nouveau business lié directement au développement d’Internet, déjà évoqué dans ce blog sans jamais expliquer précisément le fonctionnement.

Pourquoi j’en parle aujourd’hui ? Tout simplement car c’est une très belle opportunité à saisir dès maintenant pour tous ceux qui veulent gagner de l’argent sur Internet. Dans la continuité de mon billet sur le Dropshipping, cette activité peut être très rémunératrice et ne nécessite là encore qu’un simple ordinateur relié à Internet, et beaucoup de travail (notez que ces deux points reviennent souvent !). C’est donc faisable par (presque) n’importe quelle personne dotée d’une grande motivation.

Car la clef du succès est toujours la même : il faut être très motivé pour se lancer. Comme le Dropshipping, l’Affiliation Marketing est un véritable travail qui nécessite des compétences indispensables si l’on veut réussir. Compétences que l’on peut acquérir sur Internet bien évidemment, à la condition là encore de savoir parler Anglais. Il existe d’excellents blogueurs qui diffusent leur savoir quotidiennement (et les copies d’écran de leurs relevés de banque !), alors pourquoi ne pas en profiter ?
Et le moins que l’on peut dire, c’est qu’ils gagnent énormément d’argent ! Prenez Jonathan Volk, un américain âgé d’à peine 20 ans : il a réussi à gagner en une journée plus de 11 000 dollars en commissions grâce aux régies d’affiliation marketing avec qui il travaille. Et c’est loin d’être le seul, ni le plus riche d’ailleurs !

• Les origines de l’Affiliation Marketing

Le business de l’affiliation marketing est apparu face à la problématique de la monétisation des sites web. C’est un moyen pour les webmasters de gagner de l’argent grâce à l’audience de leur site, au même titre que la publicité payée au clic ou à l’affichage.

Par exemple, le webmaster va proposer à ses visiteurs un produit à acheter chez un ecommercant partenaire (l’affiliateur). Il touche ensuite une commission sur chaque vente. La formule peut s’appliquer à n’importe quel bien ou service. Simple et efficace, un vrai partenariat gagnant-gagnant comme on dit !

Enfin, ça c’est la base de l’affiliation. Ce qui nous intéresse plus particulièrement, c’est l’Affiliation Marketing sans site Internet. Ici, il n’est plus question de monétiser l’audience d’un site, mais de l’acheter directement.

A qui ? Qui peut bien procurer une audience contre l’achat de quelques mots clefs ? Google, évidemment ! Il n’est donc absolument pas nécessaire d’avoir un site Internet pour entrer dans le business de l’Affiliation Marketing tel que le pratique notamment Johnatan Volk. Et je vais vous expliquer pourquoi.

• Affiliation Marketing : comment ça marche ?

Le principe de l’Affiliation Marketing est simple. Par exemple, je souhaite participer au programme d’affiliation d’Apple. Voici comment cela se déroule :

1- Je choisis le produit que je souhaite vendre sur le site d’Apple
2- Apple me communique mon lien d’affilié pointant directement sur la fiche produit de l’Apple Store
3- Je créé une annonce sur Google Adwords et j’achète des mots clefs
4- Je colle mon lien d’affilié dans mon annonce
5- Dès qu’un internaute clique sur mon annonce et achète le produit sur l’Apple Store, je touche une commission

Voilà pour le fonctionnement en très simplifié. Il suffit ensuite de travailler sur son ROI (retour sur investissement) à travers la sélection des meilleures campagnes de mots clef, et l’argent rentre (presque) tout seul !

Presque, car dans les faits c’est légèrement plus compliqué. Google interdit l’utilisation d’Adwords pour renvoyer directement sur un lien d’affilié. Vous pouvez lancer des campagnes, mais elles ne dureront que quelques semaines/mois avant d’être supprimées. De plus, il y a certaines restrictions imposées par l’affiliateur. Pour contourner ce problème, les affiliés créent des Landing Page (« Page d’atterrissage) sur lequel les internautes vont être redirigés dans un premier temps tout de suite après le clic sur l’annonce. C’est une simple page web qui sert notamment à vanter les mérites du produit/service, et doit pousser à l’achat. Cette page contient un unique lien, celui qui dirige vers la page du produit (dans notre exemple, le lien renvoi vers la fiche produit de l’Apple Store).

Au niveau traçabilité, l’affiliateur place un cookie sur l’ordinateur de l’internaute qui indique que c’est bien vous qui avait renvoyé le client. Généralement, tous les achats effectués par ce client durant 30 jours vous permettront de toucher une commission.

Voilà pour l’essentiel du fonctionnement. Bien sur, il existe bien d’autres manières de gagner de l’argent grâce à l’Affiliation Marketing. J’ai notamment en mémoire un site qui propose des techniques pour gagner à coup sur avec les casinos en ligne. Après une explication détaillée de la technique, le webmaster place quelques liens vers des casinos en ligne. Bien évidemment, il est affilié à ces casinos et touche une commission sur chaque inscription !

• Pour en savoir plus sur l’Affiliation Marketing

Il existe de nombreux blogs traitant de l’Affiliation Marketing, mais très peu en français. Ce business n’est pas du tout développé en France, ou nous avons 10 ans de retard sur les USA. Les régies d’affiliations françaises, qui gèrent sur une même plateforme de nombreuses offres de partenariat, sont assez frileuses face aux nouvelles techniques de l’Affiliation Marketing (achat de mots clef sur Google pour générer de l’audience sur les liens d’affiliés). Du coup, il y a de nombreuses restrictions que n’ont pas les régies américaines… Cependant je pense que cela va s’assouplir avec le temps, c’est donc le bon moment pour s’investir dans cette activité.

Pour en savoir plus, je vous conseille les liens suivants :

En Français :

Webzer - Une bible malheureusement l’auteur a très vite arrêté, mais les billets qui restent sont vraiment très enrichissant

Liensponsorises.zeblog.com – Plus généraliste

En anglais :

ShoeMoney
Jonathan Volk
5 stars affiliate programs
UberAffiliate

Je reviens d’un weekend mariage sans connexion Internet, je ne suis d’ailleurs pas encore rentré puisque j’écris ce billet depuis un bar en attendant mon train à Rennes. La durée du trajet me permet de vous concocter quelques billets pour la semaine prochaine, qui sera donc plus prolixe en nouveauté !

Gagner de l’argent en restant derrière son écran, c’est possible ! Le Dropshipping est un moyen pour y arriver et j’en suis un bon exemple. Depuis 3 mois je travaille autour de ce concept et les ventes commencent à affluer. C’est donc le bon moment pour vous expliquer comment cela marche, et comment vous aussi vous pouvez gagner de l’argent en suivant mes conseils. Car l’objectif de ce blog est avant tout de partager mes connaissances, et non pas les garder jalousement avec la peur qu’on me les « pique » ! Je pense que le succès vient d’un enrichissement mutuel, ceux préférant garder pour eux leurs idées ne vont généralement pas bien loin.

Je pratique donc le Dropshipping avec bonheur car les avantages sont nombreux. Mais commençons par le commencement.

• Fonctionnement du Dropshipping

Le principe est très simple. Vous avez accès au catalogue produit de votre fournisseur qui pratique le Dropshipping. Vous choisissez un produit et vous créez une annonce que vous mettez en ligne sur votre plateforme de vente (site eCommerce, eBay, Priceminister, Amazon Market Place, etc…). Dès qu’un client achète, vous passez commande chez votre fournisseur (Dropshipper) qui s’occupera de livrer votre client à votre nom !

• Les avantages du Dropshipping

Il y a de nombreux avantages à travailler en Dropshipping, en voici une liste non exhaustive :

- Aucune trésorerie à avoir puisque vous payez votre fournisseur une fois l’argent de votre client encaissé
- Pas d’investissement financier nécessaire : un bureau, un ordinateur, une connection Internet et vous pouvez commencer à travailler
- Pas de surface de stockage nécessaire
- Un gain énorme de temps économisé sur la logistique, puisque vous n’avez pas à faire les colis
- Une liberté de travailler 24h/24 à votre rythme depuis n’importe quel endroit
- Pas de risque d’invendu

• Les limites du Dropshipping

Evidemment, ce type de business ne comporte pas que des avantages. Ce n’est pas la méthode miracle qui vous fera devenir riche à coup sur ! Il faut beaucoup de travail, le plus important étant sans doute de bien choisir ses fournisseurs / dropshipper. Je vous invite à lire ce billet pour plus de détails, sinon gardez bien en tête les points suivants :

- Aucune maîtrise de sa logistique. C’est un avantage mais aussi un inconvénient, puisqu’on place la confiance de son client chez son fournisseur. Le choix du partenaire est donc primordial… car en cas de retard sur la livraison, d’un objet de mauvaise qualité ou d’un retour SAV, c’est à vous de gérer le problème, et vous ne pouvez pas faire grand chose sans un partenaire sérieux
- Des marges faibles… et c’est plutôt logique, car vous achetez le produit à l’unité chez votre fournisseur, vous ne bénéficiez donc pas du prix grossiste ! Il faut donc avoir un gros volume, ce qui est possible assez rapidement puisque vous n’avez pas de logistique à gérer
- Double imposition de la TVA : votre client risque de payer deux fois la TVA, une fois quand vous lui vendez le produit TTC, et l’autre fois quand il reçoit le colis en provenance de votre fournisseur (hors UE). Je n’ai pas encore la solution à ce problème…

• Astuces pour réussir dans le Dropshipping

Le plus dur et le plus important est de choisir un bon Dropshipper. Quelques recherches Google vous permettront d’en trouver facilement, il faut ensuite les tester et commander pour vous les produits intéressants. Vous pouvez ainsi déterminer le délai de livraison, mode d’envoi, qualité de l’emballage, etc… N’hésitez pas à lire les reviews (avis) d’autres utilisateurs, que vous trouverez notamment sur les forums spécialisés (Tapez « Wholesale Forum » sur Google). Evidemment, savoir parler anglais est indispensable pour mener à bien ce genre de projet.

Réduisez au maximum le temps dépensé dans des activités répétitives, mettez en place les bons process pour gagner du temps en permanence. Cela vous permettra d’augmenter chaque jour un peu plus votre catalogue produit, le plus long étant de créer les annonces et l’argumentaire de vente. C’est très important car seul un volume conséquent vous permettra de réellement gagner votre vie. Limitez donc l’investissement au maximum et ne comptez pas vos heures, surtout au début… Le mieux étant peut être de démarrer seul, ou avec un associé pour accélérer le développement, mais pas plus. Les marges sont faibles, inutile de trop diviser les bénéfices ! Pour finir, Mark Kenny, un PowerSeller sur eBay reconnu, nous fait partager ses 9 astuces pour réussir dans le Dropshipping, traduit par Onizuka :

Astuce n°1 : Vérifiez la réputation du dropshipper avec le « Better Business Bureau ». Depuis combien de temps ils sont en service ? Est-ce que quelqu’un a déjà déposé une plainte contre eux ? Si c’est le cas, est-ce que la plainte a été résolu ? Ces informations peuvent être trouvées sur le site suivant : http://www.BBB.org
Astuce n°2 : Demandez au dropshipper en combien de temps ils pourront traiter une commande et expédier l’objet. Soyez sûr de savoir si oui ou non un numéro de suivi (tracking number) sera mis à votre disposition ainsi qu’à celle de votre client.
Astuce n°3 : Un facteur important à considérer est le temps de livraison. Ce serait pertinent de votre part de faire savoir à vos acheteurs que du fait que l’objet est envoyé directement de votre fournisseur, ils devraient s’attendre à quelques délais supplémentaires.
Astuce n°4 : Si un problème arrive durant l’expédition, ou si un envoi est reporté, envoyez directement le statut de l’achat à votre acheteur. Il est important de garder une bonne communication et de tenir au courant vos clients pour leur montrer que vous êtes toujours là pour répondre à leurs questions.
Astuce n°5 : Soyez prudent quand un dropshipper exige que vous payiez des frais d’accès à leur catalague de produits. Un dropshipper légitime ne devrait charger aucun frais pour l’ouverture d’un compte vendeur.
Astuce n°6 : Quand vous passez un ordre chez une société pratiquant le dropshipping, il ne devrait pas y avoir d’ordre minimum. C’est normal de bénéficier de marges sur de larges quantités, mais le dropshipper devrait aussi être capable de proposer n’importe quelle quantité de 1 à 100 objets.
Astuce n°7 : Faîtes du business avec plus d’une compagnie spécialisée dans le drop shipping. C’est toujours une bonne idée de chercher d’autres alternatives pour avoir une plus grande variété de produits et peut-être de meilleurs deals. Ne mettez jamais tous vos oeufs dans le même panier, une phrase qui doit être gravée dans votre esprit quelque soit le domaine.
Astuce n°8 : Quand vous débutez un business avec une nouvelle société de drop shipping, faîtes un test en achetant un produit vous-même. Après tout, vous êtes celui qui va vendre les produits et vous vous devez d’être sûr de la qualité du service de la compagnie en question, de la fiabilité et de l’exactitude des informations entourant l’ordre.
Astuce n°9 : L’idée générale qui se trouve derrière le dropshipping est la vente de gros. Vous achetez un produit à un prix faible afin que vous puissiez le revendre avec un profit non négligeable. Le dropshipper est le grossiste et vous êtes le revendeur. Avec l’expérience, il sera facile de voir que certaines choses sont vraiment trop bonnes pour être vraies. Avec le temps, vous repérerez en effet bien plus rapidement les arnaques en tout genre. Soyez toujours prudent, commencez doucement, sans vous précipitez et passer des ordres de plus en plus importants seulement lorsque vous vous sentirez plus à l’aise avec le processus.

Il ne vous reste plus qu’à tenter l’expérience, à travers la création d’une société bien évidemment ! Ne vous arrêtez pas à ceux qui disent que ça ne peut pas marcher, ils ne cherchent qu’à protéger leur business ! En France, nous avons beaucoup de retard sur cette pratique, et trouver des Dropshippers dans le pays est très difficile, il faut donc se tourner vers l’étranger. Mais cela veut aussi dire que le marché est relativement libre, c’est donc le bon moment pour s’y investir ! Et avec beaucoup de travail, vous verrez vite les premiers résultats arriver…!

Exciting Commerce est nouveau blog anglais qui traite des dernières news en matière d’eCommerce. C’est Jeremie Berrebi qui relaye l’info sur son blog, et c’est sa société Zlio qui finance. Cette version anglaise fait suite à une version allemande (que je ne connaissais pas) et qui dixit Jeremy est la référence des sites d’infos sur l’eCommerce. Un très bon flux à rajouter dans son lecteur pour tous ceux qui s’intéressent à ce sujet !

Je me replonge dans cet exercice mensuel à la suite de mon premier récap du mois 2 qui porte sur la création de l’EURL Tocoda et ma boutique de vente à distance sur eBay. Le mois dernier j’évoquais la nécessité d’augmenter le volume des ventes à travers la mise en ligne de nouveaux produits dans mon catalogue. Je me suis donc concentré sur cette tache et je suis heureux de constater que le travail commence à porter ses fruits ! La création d’un template professionnel pour mes annonces est également l’une des explications de ma relative réussite.

Depuis 2 grosses semaines le rythme s’est sérieusement accéléré et j’ai atteint avec bonheur la barre des 5 ventes par jour de nombreuses fois. Mon record date de dimanche dernier ou j’ai enregistré 8 ventes dans la même journée ! Je ne peux m’empêcher de vous mettre un petit screenshot de mon Outlook (j’ai enlevé une partie des titres)

C’est un début bien sur, car à l’heure actuelle je ne peux pas encore vivre de mon activité, il me faudrait le double ou le triple des ventes pour me verser un tout petit salaire, mais c’est un début encourageant ! Je commence à accumuler les évaluations positives, mes annonces semblent attractives et j’arrive à un volume satisfaisant avec seulement une grosse vingtaine de produits dans mon catalogue. Comme vous pouvez le constater je m’oriente vers le petit électronique et l’accessoire car c’est le type de produit qui est le plus facile à vendre dans ma situation, comme je l’ai expliqué dans le précédent récap. J’essaye de garder un rythme de mise en ligne d’un nouveau produit par jour afin d’arriver à avoir un catalogue produit plus conséquent rapidement et ainsi augmenter encore en volume. Le panier moyen tourne autour de 16 euros, tandis que ma marge (diminuée des frais Paypal, eBay et TVA) est en moyenne de 45 %. A noter que j’ai sensiblement augmenté la marge par produit en augmentant tout simplement mes prix, au début je cherchais à me roder et à générer des évaluations, maintenant je vise la rentabilité maximum ! Le panier moyen étant faible, il faut toutefois vendre beaucoup pour gagner de l’argent…

Cette augmentation des ventes m’a logiquement tenu éloigné un peu plus que d’habitude de ce blog et j’ai perdu mon rythme d’un billet par jour. Je ne me relâcherais cependant pas car je considère le blogging comme une activité très utile sur le long terme, et très plaisante bien évidemment. Je réfléchis cependant à privilégier l’écriture de billet de fond, sur un rythme moins soutenu, mais qui apporterait une véritable valeur ajoutée (cad de l’info que vous ne trouveriez pas ailleurs^^). Par exemple, j’ai souvent évoqué le Dropshipping, l’Affiliation Marketing et l’Infopreneuriat, sans vraiment expliqué ce que c’était par manque de temps, du coup je pense poster moins de sujets « légers » pour me concentrer sur des billets moins nombreux mais plus « travaillés ».

J’ai déjà atteint mon objectif qui était de rembourser tous les frais engagés depuis la création de la société. C’est une satisfaction car ce n’était pas gagné d’avance, on passe beaucoup de temps les premiers mois à bosser sur des choses qui ne rapportent rien (mise en place des process…), et j’aurais pu tout simplement me planter et abandonner ce projet (même si c’est pas trop dans mes habitudes de lâcher en cours de route, surtout sans avoir remboursé l’argent investi). Pour ceux qui ne savent pas, j’ai créé cette entreprise à la place de mon stage de fin d’étude en école de commerce, c’est donc avant tout une formidable expérience que je recherchais, au delà de la réussite financière. J’aurais quand même été déçu si cette première création d’entreprise (il y en aura d’autres, ça c’est sur ) se terminait prématurément par un échec. J’ai pris mon temps en ayant pour objectif d’apprendre un maximum de choses, sans penser à être rentable le plus rapidement possible. Je pense savoir maintenant l’essentiel d’un point de vue administratif et gestion pour piloter une petite entreprise tel que la mienne. Il me manque quand même certaines connaissances qui risquent de me faire cruellement défaut pour mon projet professionnel. Je parle ici de tout l’aspect technique qui rentre dans le cadre de la création web. En effet, j’ai une solide formation commerciale, une petite expérience professionnelle à travers mon stage chez Cityvox et cette création d’entreprise, mais je n’ai pas cette formation en programmation web indispensable lorsqu’on souhaite travailler sur des projets Internet. J’ai quelques connaissances en HTML, PHP, CSS et BDD, mais pas suffisamment pour travailler sur des projets ambitieux (création d’un vrai site d’eCommerce par exemple). Certes, je ne serais jamais informaticien, je travaillerais en équipe avec des gens formés spécialement à ça, mais déjà je pense qu’il faut moi aussi que je sache précisément de quoi je parle, et également je suis frustré de ne pas pouvoir lancer des projets tout seul comme un grand, alors que les possibilités (et les idées) sont là.

C’est dans cette optique que je postule à la Licence Pro « Création pour le Web » en septembre prochain à l’IUT d’Arles. Une troisième année, alors que je suis déjà en Master 1 ? En tant qu’entrepreneur, le diplôme m’importe peu, je cherche avant tout un programme intéressant qui me servira pour l’avenir. Et je suis tombé sous le charme des intitulés des cours : Informatique et Réseau [Langage de description sémantique ((x)HTML/CSS) Approche de diffusion de contenu (CMS & PHP)...], Infographie, Culture artistique et pratique multimédia… je suis déjà impatient de retrouver les études, surtout qu’il s’agit d’un enseignement que je rêvais d’avoir.

Quid de ma société ? Elle sera mise en dormance si le rythme scolaire est trop soutenu, mais je pense toutefois pouvoir continuer mon activité, avec un développement moindre évidemment. Une fois mon catalogue produit en place, mes annonces en ligne, il ne reste pas énormément de travail pour gérer les ventes. Répondre aux mails et enregistrer les commandes chez mon fournisseur pourra être fait en 1 heure par jour, du moins je l’espère !

La conférence présentant l’iPhone 3G a eu lieu hier on sait donc à peu près tout sur cette nouvelle version. Pas de surprise je pourrais presque dire que je suis un peu déçu car finalement tout ce qui a été annoncé auparavant est là, et pas de « cerise sur le gateau » comme Steve Jobs sait si bien le faire… le « one more thing » sera pour une prochaine fois !

On est donc très proche des infos dispo dans mon post sur les dernières rumeurs avant l’annonce officiel de l’iPhone 2, à savoir :

• Modèle 8Go et 16Go ( aux USA, proposés aux pris de 199$ et 299$ selon sa version et couplé à un abonnement AT&T)
• Réseaux GSM : UMTS/HSDPA (850, 1.900, 2.100 MHz), GSM/EDGE (850, 900, 1.800, 1.900 MHz)
• Deux couleurs proposées : noire (glossy) et blanche.
• GPS (mais il faudra attendre le logiciel à priori payant de TomTom pour avoir un « vrai » GPS)
• Batterie plus endurante : 300 heures en standby. La communication vocale 2G annonce 10 heures contre 5h avec l’iPhone V1. 5 heures en discussion 3G, 5 à 6 heures de surf rapide, 7 heure de vidéo!
• Modèle plus orienté vers l’entreprise
• PushMail
• MobileMe pour la synchronisation des données en Wi-Fi
• L’iPhone sortira dans 70 pays dans les prochains mois
• 22 pays sont concernés par ce lancement du 11 juillet, les autres suivront pendant le reste de l’année…

Même si cette nouvelle version risque de marcher fort, ce n’est pas pour moi la révolution que j’attendais, car il manque notamment :

• Un modèle 32Go
• Une optique en facade pour la visiophonie
• L’enregistrement vidéo
• Les MMS
• Le copier/coller
• Un appareil photo amélioré (je prends aucune photo car la qualité est vraiment médiocre)

Ce n’est donc pas le téléphone ultime que j’espérais voir apparaître. Je me demande s’il n’y a pas derrière une vilaine logique commerciale qui pousse Apple a ne pas tout mettre d’un coup et ainsi pouvoir proposer de nouvelles versions chaque année. Enfin le GPS c’est quand même une grande avancée qui me poussera certainement à acquérir ce nouveau modèle, en espérant pouvoir l’acheter directement dans les Apple Store américain (avec activation du forfait à distance, et donc débloquage/désimlockage certainement possible)

[Via Belgium iPhone]